(Par Mélissa Paradis)
Il y a déjà plus d’une semaine que je me rendais à l’isoloir (disposé de façon plus que pratique dans la cafétéria de mon Université) pour écrire, en caractère gras, le nom du candidat que je souhaitais voir au Salon Bleu. J’étais gonflée d’espoir. De vote stratégique; il n’en existait pas. Continuer la lecture de Le Québec à l’isoloir