(Par Émilie Côté Bessette)
La BD vil et misérable commence sur deux malaises qui sont incompréhensible pour le lecteur. Cela donne vraiment envie de poursuivre, et oui quelques détails s’éclaircissent en cours de lecture. Premièrement, il y a une petite séance chez le psychanalyste question de découvrir les démons intérieurs du personnage cornu, ici nommé Lucien. L’introduction du personnage est (volontairement) ratée, puisque le psychologue est déjanté et manque de professionnalisme. La preuve, une vue en plongée sur le cellulaire du psychanalyste qui est entrain de texter pendant que le patient lui parle. Cette entrée en matière est suivie du malaise qu’éprouvent deux employés à la vue de Lucien, au début de la première partie. Il acquiert une aura vaporeuse quand même assez couramment observé chez un libraire. Le libraire tel un spectre qui sort d’entre deux rangées, il est presqu’un personnage mythique. Dans l’imaginaire collectif, le libraire habite la librairie. Le libraire ne mange pas, il dévore par la lecture. Continuer la lecture de Critique : Samuel Cantin – Vil et Misérable (BD) →
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